Forum Karczmy Bezdennego Kufla

wlkleo00jah

David Shoemaker is Vice President of Learning Solutions and Innovation at eCornell. For more information on hotel revenue management training, hospitality [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] management or eCornell, please visit [link widoczny dla zalogowanych]

Hotel revenue management is commonly described as boiling down to selling the right room, to the right person at the right time, and for the right price. While that may sum up the goal, it does not come close to explaining the complexity of balancing all of those aspects for management. Hotel revenue management training provides [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]www.vivid-host.com/barbour.htm[/url] management with a working system to manage occupancy, pricing, and marketing, which requires a coordinated effort across the organization. For any hospitality management professional, the goal is to maximize revenue by balancing demand, reservations, scheduling and variable pricing.
Managers [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] must have a well-rounded understanding of [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] what it takes to efficiently control proper hospitality management. Hotel revenue management training covers the specific drivers [url=http://www.gotprintsigns.com/hollisterpascher/‎]hollister paris[/url] of revenue for a hotel. Training covers various topics including forecasting and availability controls, pricing and distribution channel management, overbooking and group management, and non-traditional revenue management applications. Constrained and unconstrained demand, as well as pacing, factor heavily [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] into the momentum of the hotel industry. Managers need to be schooled in analyzing dates to evaluate different pricing models and apply duration management strategies. Hotels with a management team that is not adept at utilizing these tools will inevitably fall behind their competition and see a negative effect on the bottom line of the business.
Revenue management could be applied to any hospitality-based business such as restaurants, meeting spaces, spas, and even golf facilities. Any business with a fixed capacity, time variable demand, and perishable inventory needs to manage revenue. [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] This kind of business has a clear ceiling for [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] how much revenue it can earn; it becomes the manager's job to try to reach that ceiling at the lowest cost. In order to do so, managers can employ analytics that forecast consumer behavior at the micro-economic level to optimize product availability and generate maximum revenue. Hospitality management professionals must have a firm grasp of finance, sales, marketing, and customer service, but the success of the business ultimately falls upon revenue management.
Managers are in the difficult position of knowing the nuances of every branch of the hospitality industry. However, the extent of a manager's knowledge cannot stop with the hospitality industry. Managers must stay up-to-date in local and global economic news. Foreign currency values can play a significant role in tourism for [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] a hotel. Managers need to be fully aware of local competition and politics to be able to properly forecast demand. Mathematics and problem-solving skills are both essential for effective management. A manager must develop the skills necessary to cross-analyze [url=http://www.achbanker.com/home.php]hollister[/url] various sets of data over periods of time in order to detect trends and variations.
To keep up with modern changes in the hotel industry, managers must be tech savvy. Managers should understand social networks, as their role in [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] the hotel industry could help marketing efforts. Managers should utilize the Internet to maximize their distribution channels and create a back-linking strategy, ultimately increasing their business' online visibility. The hotel industry is moving forward, and [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] those businesses that do not take advantage of hotel revenue management training will fall behind. Hotels and other hospitality businesses need to train their hospitality management teams in revenue management in order to remain successful.
相关的主题文章：

[url=http://facebooklanka.com/blogs/post/18877]barbour uk outlet How To Find The Very Best Credit Card Deals[/url]

[url=http://www.hot1798.com/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=3408&fromuid=178]hollister outlet sale Get Tips For Best Industrial Concrete Floor Coatings[/url]

[url=http://www.auv518.com/uchome/space.php?uid=3423&do=blog&id=12164]hollister paris By What Method To Get Hands On The[/url]

wlkleo00jah

L’INSEE a déjà commencé à présenter des indices des prix à la consommation par catégories de ménages pour la période 1996-2006. Il analyse ainsi l’impact des différences de structure de consommation sur la mesure de l’inflation en présentant des calculs d’indices particuliers, spécifiques à certaines catégories de ménages. Ainsi, l’indice des prix aurait augmenté plus vite pour les 10% de ménages les plus pauvres que pour les 10% les plus riches entre 1996 et 2006. En revanche, l’INSEE considère que le poste Logement «ne contribue que faiblement aux écarts d’inflation entre catégories, l’écart entre la hausse des loyers et l’IPC étant resté modéré sur la période».
Lors de la conférence sur l’emploi et le revenu du 14 décembre 2006, le Premier ministre a évoqué la mise en place d’un nouvel indice des prix, incluant le logement, l’énergie, l’eau et le téléphone afin qu’il soit plus représentatif. Lors de sa conférence trimestrielle du 19 décembre 2006, le ministre des finances a annoncé l’ouverture de 3 chantiers: la mise en place d’indices catégoriels, la mise à l’étude par l’INSEE d’une meilleure prise en compte des dépenses de logement des ménages et l’élaboration d’un «bouquet de services-type», élaboré sur la base des dépenses mensuelles avec les associations de consommateurs, permettant le suivi des dépenses dites «contraintes».
L’INSEE rappelle que l’indice des prix à la consommation (IPC) n’est pas un indice du co?t de la vie. L’IPC est représentatif de l’évolution des prix des produits selon la structure de consommation moyenne de la population. Pour son calcul, l’INSEE s’appuie sur plus de 160 000 relevés de prix mensuels et sur 40 000 tarifs collectés directement auprès de grandes entreprises. Selon l’INSEE, l’IPC a évolué de +1,5% de décembre 2004 à décembre 2005 et de +1,5% de décembre 2005 à décembre 2006.

Vers de «nouveaux instruments» de mesure du pouvoir d’achat?
Pouvoir d’achat, quelle réalité? ? Communauté européenne, 2006
Selon le sondage TNS/Sofres du début octobre 2006, l’évolution du pouvoir d’achat inquiète 42% des Fran?ais. 68% estiment que leur propre pouvoir d’achat n’augmente pas. L’annonce par l’INSEE d’une progression du pouvoir d’achat de 2,3% en moyenne en 2006 et la tenue de la conférence sur l’emploi et les revenus, le 14 décembre 2006, relancent le débat sur la «vie chère».
La définition retenue par l’INSEE pour le pouvoir d’achat et la méthode utilisée pour son calcul sont contestées. Les critiques portent simultanément sur les deux composantes du pouvoir d’achat: l’évolution du revenu des ménages et celle de l’inflation.
Selon l’Institut national de la statistique et des [link widoczny dla zalogowanych] études économiques (INSEE), «le pouvoir d’achat du salaire est la quantité de biens et de services que l’on peut acheter avec une unité de salaire» et «son évolution est liée à celles des prix et des salaires».
Dans son [link widoczny dla zalogowanych] rapport sur «La France en transition – 1993-2005», de novembre 2006, le Conseil supérieur de l’emploi, des revenus et des co?ts (CERC) constate une progression «réelle» mais «modeste» du revenu disponible par habitant, mesuré en termes de pouvoir d’achat, de 1,7% par an en moyenne de 1993 à 2005, avec un ralentissement ces dernières années. [link widoczny dla zalogowanych] Comme le CNIS, le CERC attribue le hiatus entre perception et réalité du pouvoir d’achat au passage à l’euro et à la part croissante des dépenses «contraintes». En conclusion, il estime cependant que «l’emploi instable» est la première source des inégalités de revenus et que «la réponse est plus dans la lutte contre les inégalités sociales et les disparités de revenus que dans une sophistication des indices».
La Délégation pour la planification du Sénat confirme, dans un document d’information de décembre 2006, que le pouvoir d’achat a connu une évolution plus «heurtée» depuis 2002 (+0,9 en 2003, +2,2% en 2004, 1,1 [link widoczny dla zalogowanych] en 2005 et de [link widoczny dla zalogowanych] l’ordre de +2,2% en 2006). Pour illustrer le décalage entre inflation mesurée et per?ue, l’étude met notamment en relief l’augmentation des prix de produits et de services spécifiques particulièrement visibles (énergie et services), l’effet «qualité» relevé par le CNIS, ainsi que la pondération jugée «restrictive», du co?t du logement, fixée par l’INSEE à 6%.
Une définition et des méthodes de calcul contestées
Les données statistiques globales sembleraient de moins en moins [link widoczny dla zalogowanych] adaptées à la représentation d’une réalité complexe et éclatée. [link widoczny dla zalogowanych] Pour mieux rendre compte de l’hétérogénéité des structures de consommation, des indices de prix différenciés par catégories sociales et une meilleure appréciation des [link widoczny dla zalogowanych] dépenses «contraintes» et du co?t du logement dans les indices «officiels» sont le plus souvent mis en avant.
L’évolution du pouvoir d’achat mesurée par l’INSEE
Selon le Conseil [link widoczny dla zalogowanych] national de l’information statistique (CNIS, Chroniques, mars 2006), [link widoczny dla zalogowanych] le ralentissement [link widoczny dla zalogowanych] de la progression du pouvoir d’achat à partir de 2003 est d? au poids croissant des dépenses «contraintes» ou «à engagement contractuel» (logement, chauffage, téléphonie, assurances, soit plus du quart du RDB) et au r?le perturbateur du passage à l’ en 2002. Le CNIS souligne que l’évolution de l’IPC affecte d’avantage les plus modestes en raison de l’évolution des prix du tabac et du carburant. Il note que l’IPC, même renouvelé chaque année, ne mesurerait pas l’impact, sur les dépenses, de l’évolution des choix de comportements des ménages en faveur de produits et de services de meilleure qualité. Dans son rapport de décembre 2006 consacré aux niveaux de vie et aux inégalités sociales, le CNIS met l’accent sur les lacunes du dispositif de l’INSEE concernant notamment les revenus du patrimoine et de certaines catégories de populations (étudiants, sans domicile, travailleurs indépendants).
L’INSEE estime que les revenus des Fran?ais [link widoczny dla zalogowanych] ont, globalement et en moyenne, progressé plus vite que les prix, entra?nant un gain moyen de pouvoir d’achat de 1,9% par an entre [link widoczny dla zalogowanych] 1996 et 2006. Selon l’INSEE, le RDB des ménages, net d’imp?ts et de cotisations, a progressé de 1% en 2003, de 2,2% en 2004 et de 1,1% en 2005. Dans le projet de budget pour 2007, le , qui reprend la prévision de l’INSEE d’une hausse du pouvoir d’achat du RDB des ménages de 2,3% en 2006, table sur une progression de 2,8% en 2007.
La notion statistique usuelle de «pouvoir d’achat» utilisée par l’INSEE est celle du pouvoir d’achat du [link widoczny dla zalogowanych] revenu disponible brut (RDB). Il se définit comme la somme de tous les revenus d’activité et des revenus du patrimoine ainsi que des transferts aux ménages (prestations sociales), moins les imp?ts et autres prélèvements sociaux. Le revenu réel qui reste à la disposition des ménages pour la consommation et l’épargne se calcule en déduisant l’augmentation des prix (l’) de la croissance des revenus (le RDB).
Bien que n’étant pas exempts de critiques, de nouveaux indices de pouvoir d’achat déduisent du RDB les dépenses «contraintes» et mesurent le pouvoir d’achat du consommateur. Le Bureau d’informations et de prévisions économiques (BIPE) propose, depuis 2003, un indicateur du «pouvoir d’achat libéré» qui permet le calcul d’un indicateur du pouvoir d’achat «effectif». En 2006, ce pouvoir d’achat «effectif» aurait augmenté [link widoczny dla zalogowanych] de 0,5% (contre 2,3% du pouvoir d’achat global des ménages de l’INSEE). L’indice du pouvoir d’achat de l’Institut national de la consommation (INC), basé sur un IPC dont la part du loyer est de 20%, conclut à une augmentation du pouvoir d’achat de 0,9% entre juin 2005 et juin 2006.