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Ceux de BNP Paribas peuvent [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti pas cher[/url] ainsi à mieux gérer les entretiens d'évaluation de fa?on virtuelle. Assis derrière leur [url=http://www.benditong.cc/home/space.php?uid=55353&do=blog&id=280180]tiffany Les Français épargnent de plus en plus po[/url] écran d'ordinateur, ils manipulent un avatar, vêtu comme un manageur - tailleur chic pour les femmes, [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany outlet[/url] costume croisé pour les hommes -, et lui indiquent l'attitude à au cours du rendez-. S'il lui vient à l'idée de réprimander son salarié virtuel, celui-ci devient nerveux, s'affaisse dans son fauteuil et croise les bras, en signe de rébellion. On s'y croirait.
Le serious game uniformise les comportements des salariés, et risque même de les un peu. "Le vrai problème, c'est que [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister[/url] les apprenants ont tendance à pour argent comptant [url=http://www.mxitcms.com/tiffany/]tiffany[/url] ce qui leur est dit dans les jeux", s'inquiète M. [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich outlet[/url] Mauco. La peur du game over, sans doute.
Sa limite, c'est qu'il ne suffit pas, à lui tout seul, à le travail pédagogique. "Il faut attention au mythe de l'autoformation. Ce n'est pas parce que c'est un jeu qu'un sentiment d'addiction va se développer. [url=http://www.ilyav.com/uggpascher.php]ugg pas cher[/url] Les gens ne vont pas leurs pour se former", tempère M. Mauco, auteur lui-même d'un serious game pour EDF. M. Simoncini va dans le même sens : "Il faut impérativement un [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] accompagnement humain à c?té pour le jeu et en les enseignements pédagogiques."
Pourtant, chez Renault, le jeu vidéo a révolutionné l'apprentissage des vendeurs, autrefois [url=http://gz.gcihjt.com/iwebsns/home.php?h=43508&app=blog&id=146630&user_id=43508]peuterey outlet Retard en vue sur le chantier de lEPR de Flamanville[/url] réticents à toute formation, per?ue comme inutile et fastidieuse. Le serious game souligne d'ailleurs le relatif échec du e-learning : ce dispositif où l'apprenant lit des textes théoriques sur son écran n'a pas convaincu. "On s'est vite rendu compte que, malgré l'enthousiasme des débuts, le e-learning n'était pas une solution idéale", affirme , responsable de , le p?le formation du constructeur . Plus de 70 % des salariés n'allaient pas jusqu'au bout de la lecture de textes souvent rébarbatifs et sans aucune interactivité. Du g?chis.
Les serious games captivent les vendeurs, mais sont-ils efficaces ? "Un bon vendeur en serious game est un bon vendeur dans la réalité. Il est rare de un moins bon vendeur des scores élevés", souligne M. Simoncini. Mais ces jeux permettent aussi l'apprentissage par l'échec. Il n'est pas rare de les vendeurs volontairement le client. Selon M. Simoncini, certains voudraient même le virtuellement. Le jeu permet de des erreurs et d'en les conséquences, c'est son principal atout.
Ce n'était pourtant pas gagné d'avance, reconna?t M. Simoncini. "Il y a eu des réticences dans certains pays, dit-il. Il a surtout fallu la [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie[/url] tête de la hiérarchie et une stratégie de déploiement de ce type de formation par le haut." [url=http://r.club.china.com/jsp/error/error.jsp?message=sessionTimeNot]giuseppe zanotti sneakers Quand Oprah en pince po[/url] C'est l'intervention de Patrick Pélata, ancien directeur général délégué de Renault, convaincu [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] par le jeu après l' essayé, qui a accéléré la mise en place de ce système dans les dix-huit pays où le groupe est présent.
semblent le . BNP Paribas, , Alcatel-Lucent, Thales... : toutes utilisent désormais le serious game, un jeu vidéo à des fins pédagogiques, pour leurs vendeurs et leurs manageurs.
Reste à comment sont fabriqués ces jeux. Chez Daesign, ils sont le fruit d'une collaboration entre l'entreprise commanditaire et l'équipe de la société conceptrice, aussi composée d'experts en management et en communication. "Mais c'est le client qui décide des situations", tempère son patron, M. Nolan. Pour Renault, "nous avons demandé aux concepteurs du jeu d'intégrer dès le départ les "10 essentiels de la vente" utilisés dans la plupart de nos pays", affirme M. Simoncini.
Avec le serious game, c'est l'inverse qui se produit : ils en redemandent. Dans la division algérienne de Renault, par exemple, les vendeurs organisent des tournois, sous la houlette de leur manageur. Celui qui obtient le meilleur score gagne un mois de salaire supplémentaire. "Le jeu vidéo favorise l'esprit de compétition et l'émulation entre les vendeurs", précise , directeur commercial de Daesign, un concepteur de jeux vidéo traditionnels reconverti dans le serious game.
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Le recours au jeu en entreprise n'est pas neuf. L'organisation de courses d'orientation et autres de r?le a souvent été per?ue comme un excellent moyen de la cohésion des équipes et de présenter l'entreprise sous un autre visage. Olivier Mauco, chercheur à l'université Paris-I-Sorbonne, qui tient un blog sur l'idéologie dans les , estime que le serious game ne serait que le prolongement et l'adaptation de ces activités.
Malgré le soutien moral et financier de sa hiérarchie, M. Simoncini a d? d'artifices pour ses équipes. Son serious game a bénéficié d'un lancement digne d'un film hollywoodien. Bande-annonce, bonus et découverte [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] des coulisses ont permis aux "joueurs" de se à ce nouvel outil. La preuve, pour M. Mauco, que "le "serious game" est aussi un outil de communication interne, qui permet de les valeurs de l'entreprise". C'est qu'il ne fallait pas les plus ?gés, [url=http://www.maximoupgrade.com/hot.php]hollister france[/url] moins rompus aux jeux vidéo. En revanche, les membres de la "génération Y" - ceux qui ont grandi avec Internet et les - se [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler sito ufficiale[/url] sont montrés immédiatement réceptifs.