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Après trois ans d'efforts, le premier antivirus 100 % fran?ais devrait le [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry outlet[/url] jour courant 2013 pour les smartphones et tablettes fonctionnant sous , le système d'exploitation de : "Android est un [url=http://www.davidhabchy.com]barbour sale[/url] système ouvert, rappelle Jér?me Notin, son code est librement accessible, ce qui facilite notre travail." Davfi a opté pour la solution radicale. Le système préinstallé sur l'appareil sera effacé et remplacé [url=http://www.mansmanifesto.com]www.mansmanifesto.com[/url] par une version "durcie" d'Android, sécurisée en profondeur : "Nous avons aussi viré des trucs inutiles, précise Jér?me Notin. Par exemple des modules collectant certaines données personnelles."
Par ailleurs, Jér?me Notin affirme que les antivirus actuels sont de qualité médiocre : "Leur conception [url=http://www.mansmanifesto.com]doudoune moncler homme[/url] n'a pas changé depuis dix ans, alors qu'en face les créateurs de virus ont fait beaucoup de progrès." Résultat, les clients sont de moins en moins protégés, et les affaires d'espionnage informatique se multiplient. La dernière en date, découverte fin 2012 et baptisée opération "Red October", aurait touché les administrations d'une vingtaine de pays sur trois continents - Etats-Unis, , , , Moyen-Orient...
Dans l'espoir de remédier à cette situation, la France a lancé un projet mixte public-privé dans le but de créer le premier antivirus 100 % fran?ais. Il a été baptisé provisoirement Davfi (démonstrateur d'antivirus fran?ais et internationaux), en attendant de lui un nom plus aguichant. Le projet est mené par un consortium réunissant trois entreprises informatiques (Nov'It, Qosmos et TechLib) ainsi que la DNCS (constructeur de navires de guerre dont l'Etat est actionnaire majoritaire) et le Laboratoire de cryptologie-virologie de l'école d'ingénieur ESIEA, de Laval, dirigé par un ancien des renseignements. [url=http://juejin918.com/forum.php?mod=viewthread&tid=8784&fromuid=386]barbour uk La fin de la librairie (1ère partie) Ce nest pas linternet qui a t[/url] Le consortium travaille en liaison avec [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] le ministère de la et l'Agence nationale de la sécurité des systèmes d'information (Anssi), et il est en partie financé par l'Etat, sous forme d'une avance de 5,5 millions d'euros provenant des investissements d' financés par le grand emprunt. Si tout se passe comme prévu, les entreprises rembourseront l'Etat sur cinq ans, une fois que le produit sera commercialisé.
Le consortium prépare aussi [url=http://www.eastscotinvest.co.uk/mulberry.html]mulberry sale[/url] un antivirus pour Windows, mais [url=http://www.tierraycielo.com.mx/index.php?option=com_blog&view=blog&lang=es]louboutin Service minimum pour lArgentine face au[/url] il ne sera pas terminé avant fin 2014. D'après Jér?me Notin : "Avec , tout est lent et compliqué, nous avons du mal à les informations dont nous avons besoin. En fait, en ce moment, nous essayons surtout d' nos relations avec eux. De toute fa?on, Windows 8 est très fermé, nous ne pourrons pas en profondeur."
La présence [url=http://www.booktoy.net/bbs/forum.php?mod=viewthread&tid=6972302&fromuid=248379]hollister Mythes et réalités sur laccélérateur de particules[/url] des pouvoirs publics dans cette affaire est massive, car le [url=http://www.achbanker.com/home.php]www.achbanker.com/home.php[/url] problème des antivirus n'est pas seulement commercial. Pour Jér?me Notin, patron de Nov'It et coordinateur du projet, il s'agit avant tout d'une question de souveraineté nationale : "Un antivirus a accès à toutes les données contenues dans l'ordinateur et, pour , il [url=http://www.getconversational.com]hollister pas cher[/url] échange en permanence des informations avec les serveurs de l'éditeur installés à l'étranger. Or, les logiciels commerciaux actuels sont verrouillés, et les flux de données sont chiffrés. Le client ne sait rien de ce qui s'échange et ne contr?le rien." Pour les particuliers, ce n'est pas très [url=http://www.materialistanyces.com]louboutin pas cher[/url] grave mais, pour des administrations ou des entreprises stratégiques, le problème est réel : "On sait par exemple que les sociétés américaines de ont des liens étroits avec des agences fédérales comme le FBI et la NSA [renseignement militaire]."
et les particuliers ont dépensé en 2012 près de 300 millions d'euros pour équiper leurs ordinateurs de logiciels antivirus - une précaution utile, car les pirates informatiques sont de plus en plus actifs et ingénieux. Or, ces achats viennent le déficit de la balance commerciale, car le marché de l'antivirus est entièrement aux mains de s étrangères - américaines, russes, japonaises...
Dernier point : Jér?me Notin jure que, si des pays étrangers adoptent Davfi, ils n'auront pas à d'être espionnés par la France, car le fonctionnement [url=http://www.vivid-host.com/barbour.htm]barbour uk outlet[/url] d'un est transparent.
A terme, Davfi compte un antivirus pour les serveurs fonctionnant sous Linux. En revanche, pour les appareils Apple, inutile d', car la société refuse de les informations nécessaires.
Pour son dispositif, Davfi créera son propre service de téléchargement d'applications, sur le modèle de l'iTunes d' - en plus petit. "Nous proposerons uniquement des applis que nous aurons contr?lées et validées et que nous aurons, le cas échéant, nettoyées en ?tant certaines fonctions. Evidemment, cela va le choix, mais les appareils à [url=http://www.getconversational.com]hollister france[/url] usage professionnel n'ont pas besoin d'être bourrés d'applis ludiques non sécurisées. Par exemple le jeu Angry Bird collecte les coordonnées de géolocalisation des joueurs. [url=http://www.rtnagel.com/louboutin.php]louboutin[/url] Pour quoi ? C'est un non-sens."
Davfi sera un libre, qui pourra être validé, contr?lé et amélioré par les experts du monde entier. Il sera gratuit pour les particuliers de tous les pays, tandis que les versions plus complètes pour les entreprises seront payantes.
Il faudra se d' des modules antivirus sans au système préinstallé, une solution moins satisfaisante que celle utilisée pour Android. Cela dit, Jér?me Notin se dit persuadé que l'ère du "Windows partout" est révolue, y compris en entreprise, et note que Google distribue depuis peu une version d'Android pour PC. Malgré leur volonté d'indépendance, les chercheurs fran?ais restent tributaires de leurs relations avec les géants américains d'Internet.