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Entre-temps, la donne a été bouleversée. La [url=http://www.hxsyxx.cn/lzjs/E_GuestBook.asp]jordan How[/url] RDC et le , qui s'affrontaient par milices interposées, ont joint leurs forces. Le rebelle congolais Laurent NKunda, chef du Congrès national pour la du peuple (CNDP), a été placé en résidence surveillée au Rwanda, son allié d'hier. Kinshasa a invité, fin [url=http://cgi.www5f.biglobe.ne.jp/~rei-style/joyful/joyful.cgi]barbour france paris Municipa[/url] janvier, et pour un mois, les forces rwandaises à à ses c?tés les rebelles hutu rwandais des Forces démocratiques de libération du Rwanda (FDLR - elles abritent dans leurs rangs des responsables du génocide de 1994), qui servaient jusque-là de supplétifs occasionnels à l'ée congolaise. L'ONU, elle, a été [url=http://www.mxitcms.com/abercrombie/]abercrombie milano[/url] marginalisée. "Nous n'avons pas été consultés, c'est leur droit", admet Alan Doss.
Alan Doss estime que l'intervention conjointe des forces rwandaises et congolaises a été "positive, surtout politiquement", parce qu'elle a permis un rapprochement entre les deux adversaires. "Les FDLR ont été dispersés, [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo paris[/url] mais pas vaincus au sens classique, il faut à les dans la forêt", prévient-il.
Un des défis de l'ONU est d'opérer aux c?tés de l'armée congolaise, dont les soldats ont souvent déserté, pillé, voire, fin 2008, tiré sur la Monuc. "Pour la discipline, il faut qu'ils aient un minimum : à , à , un peu de carburant. La Monuc leur fournit tout cela", affirme M. Doss. Par ailleurs, assure-t-il, la Monuc refuse toute collaboration avec Bosco Ntaganda, dit "le Terminator", un homme fort du CNDP intégré, avec [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie soldes[/url] ses hommes, dans l'armée congolaise, mais [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] recherché par la Cour pénale [url=http://www.gotprintsigns.com/abercrombiepascher/‎]abercrombie pas cher[/url] internationale pour enr?lé des enfants.
congolaise et les rebelles de Laurent NKunda, qui avaient provoqué une catastrophe humanitaire et menacé de la ville de Goma, dans l'Est, aucun des 3 000 casques bleus promis en renfort n'a foulé le sol congolais. "Il y a des négociations, mais personne n'est arrivé", explique au Monde , le chef de la Mission de l'ONU en RDC (Monuc). Ce retard est "inquiétant", reconna?t [url=http://www.teatrodeoro.com/hollisterde.php]hollister[/url] le diplomate britannique, qui avoue qu'il ne sera "soulagé" qu'après l'arrivée de la force de réaction rapide autorisée par le Conseil de sécurité le 20 novembre 2008.
Les troupes rwandaises parties, les casques bleus de la Monuc assistent l'armée congolaise. Leur priorité est de "minimiser" les risques pour la , notamment en créant des "équipes de protection" composées de civils placés auprès des militaires.
Bien que la situation reste "très difficile", selon le responsable onusien, il y a eu "des améliorations. Certaines des personnes déplacées fin 2008 sont rentrées. A Goma, la confiance est revenue, il y a de nouvelles maisons construites, des routes, des bureaux", [url=http://www.lcdmo.com/hollister.php]hollister france[/url] assure-t-il. Mais selon l'organisation non gouvernementale Oxfam, "la situation est aussi grave que l'année dernière, (des) tragédies humaines se produisent dans des régions éloignées, loin des caméras." Les combats contre les FDLR, depuis fin janvier, ont déplacé près de 250 000 personnes dans les Kivu. Selon Watch, au moins 90 femmes et filles ont été violées et 180 civils tués.
Quant aux renforts tant attendus, ils ne résoudront pas tout. Pour Alan Doss, en République démocratique du Congo, l'ONU "est loin de la conception classique du r?le des casques bleus", qui se déploient normalement pour la paix, non l'. "Nous n'aurons jamais assez de soldats, regrette le diplomate. Les Kivu, avec 10 millions d'habitants, font [url=http://www.jordanpascherofficiele.com]air jordan[/url] la taille de plusieurs pays européens. Ce n'est pas avec 10 000 casques bleus..."
La Monuc se débat toujours avec ses critiques, notamment ceux qui [url=http://www.jeremyparendt.com/jimmy-choo.php]jimmy choo chaussures[/url] reprochent aux casques bleus de n'être pas intervenus dans le village de Kiwanja, début novembre, alors que des dizaines de civils étaient exécutées. "Ce jour-là, il y avait 4 000 ou 5 000 personnes autour de la base de Kiwanja, venues se sous [url=http://www.moncleroutletosterblade.com]moncler outlet[/url] la protection de 120 casques bleus", se défend Alan Doss. Certes, admet-il, "les procédures sont lourdes", lorsqu'il s'agit par exemple de des casques bleus pakistanais de se sous les ordres d'homologues [url=http://www.mnfruit.com/louboutinpascher.php]louboutin pas cher[/url] indiens. "Nous aurions pu certaines choses différemment (...), mais nous avons évité le pire."
"Il faut les FDLR et les de leurs revenus, des mines et des marchés qu'ils contr?laient", ajoute le chef de la Monuc. La t?che n'est pas aisée. "Ce n'est pas la Ruhr après la seconde guerre mondiale, mais plut?t de petites zones d'exploitation où quelques creuseurs prélèvent quelques kilos de minerais", explique Alan Doss. Et d' : "Les FDLR sont rarement dans les , mais ils sont armés, brutaux [url=http://cgi.ebay.com.au/ws/eBayISAPI.dll?ViewItem&item=220683313529&ssPageName=STRK:MESE:IT]moncler outlet Quality Printe[/url] et arrivent à contr?ler, à , à des barrages. Ils tentent de [url=http://www.jeremyparendt.com/Barbour-Paris.php]barbour france paris[/url] se réinfiltrer."