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Universal Music s'est associé à la jeune société new-yorkaise SpiralFrog pour un service fin 2006 en version expérimentale. Les modalités financières n'ont pas [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister sale[/url] été divulguées, SpiralFrog se contentant d' que le projet reposait sur un partage des revenus publicitaires. Les deux partenaires se [url=http://john-a-wolfe.com/coppermine/displayimage.php?pid=352&page=1096]Une visite à Wimbledon, la corvée de Sa Majesté[/url] défendent de iTunes. "C'est [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour[/url] un modèle supplémentaire et légal d'accès à [url=http://www.1855sacramento.com/moncler.php]moncler outlet[/url] de la musique sur Internet, car nous savons que les consommateurs aiment de différentes manières", fait-on chez Universal.
AOL OPTE POUR LE PAYANT
AOLMusic Now affirme déjà un catalogue de 2,5 millions de [url=http://www.1855sacramento.com/woolrich.php]woolrich bologna[/url] chansonsprovenant des catalogues de différents éditeurs musicaux et passéun accord privilégié avec BMG Music Entertainment, qui lui fournira des clips vidéo.
MARCH? EN DIVERSIFICATION
Pour Mark Mulligan, analyste chez Jupiter Research, le marché de la musique numérique commence à peine à se et "la position dominante d'Apple signifie qu'il [url=http://www.mquin.com/giuseppezanotti.php]giuseppe zanotti sneakers[/url] n'y [url=http://rover.ebay.com/rover/1/711-53200-19255-0/1?campid=5336182395&customid=pubster&toolid=10013&mpre=http%3A//cgi.ebay.com/ebaymotors/4x-24CM-PVC-LED-CAR-TRUCK-FLEXIBLE-NEON-LIGHT-STRIP-RED-/320609712722]hollister sale Facebook en Bo[/url] a qu'une seule direction vers laquelle sa part de marché peut , le bas". Le problème [url=http://www.thehygienerevolution.com/barbour.php]barbour paris[/url] à plus long terme, selon lui, est la mise au point de standards pour les fichiers musicaux qui permettront au consommateur de les écouter [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]jordan pas cher[/url] sur le baladeur numérique de son choix.
Pour Universal Music, le nouveau service est un moyen de contre le téléchargement pirate de musique sur Internet, un phénomène de société qui fait l'objet d'une véritable croisade de l'industrie du disque. Selon l'association représentant l'industrie du disque, l'IFPI, le sur Internet représente environ 40 % de la [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey[/url] musique téléchargée.
Le [url=http://park11.wakwak.com/~yda/cgi-bin/kokoa/keitaibbs/epad.cgi]peuterey La vie privée de Rib[/url] portail Internet AOL a pour sa part annoncé mardi un service de musique à l'abonnement, accessible dans un premier temps depuis les Etats-Unis. Lenouveau service AOL permettra de télécharger chansons et clips gr?ce àun abonnement, contrairement à iTunes, dont les téléchargements ne peuvent être payés qu'à l'unité. Ce service offrira également de la radio parsatellite gr?ce à une alliance avec le programmateur américain XM.
Au-delà du piratage, le téléchargement de musique en ligne a un fort potentiel : la vente de morceaux sur le Net aux Etats-Unis a augmenté de 89 % en un an, à 144 millions de morceaux fin mars, selon l'IFPI. Ainsi, la major du disque EMI est en discussion avec plusieurs s, dont SpiralFrog, pour de la musique en ligne financée par [url=http://www.rtnagel.com/airjordan.php]nike air jordan pas cher[/url] la publicité.

du [url=http://www.1855sacramento.com/peuterey.php]peuterey outlet[/url] disque, va le téléchargement gratuit aux Etats-Unis et au de son catalogue sur Internet, une première rendue possible par la publicité et destinée à et le succès de sa plate-forme iTunes. L'annonce, dévoilée mardi 29 ao?t, est inédite à ce jour alors que le [url=http://www.sandvikfw.net/shopuk.php]hollister outlet sale[/url] créateur de l'iPod – qui détient selon les études de 70 à 85 % du marché américain de la musique en ligne [url=http://www.davidhabchy.com]barbour outlet[/url] – a balisé le terrain d'un modèle économique payant, avec un morceau vendu 99 cents l'unité.